Après nous avoir fait voyager dans ses souvenirs d’Arpète dans L’Ombre de Rosalie, après nous avoir raconté l’histoire de son chien, un Pinscher moyen allemand dans « Heureux qui comme Éliott » préfacé par le président de la SPA, Serge Leprêtre a repris la plume pour évoquer un sujet épineux, le harcèlement, dans un roman intitulé « Mortelle pensée ». Ce fléau des temps modernes a pu ou peut toucher tout le monde, quel que soit son âge. Pour tenter de combattre ce mal insidieux, il faut, avant toute chose, commencer par en parler librement. C’est que l’auteur a fait en nous embarquant dans son roman. La pire chose est de fermer les yeux derrière la meute hurlante.

Résumé :

Victor est très occupé par son métier ingrat de frigoriste qui ne lui laisse pas un instant de répit. Un jour, alors qu’il rentre tout juste d’une mission outre-mer, le commandement le désigne pour remplacer un chef de service véreux. Débute alors une succession de déboires s’ajoutant à ses propres ennuis sentimentaux qui vont l’entraîner dans une descente aux enfers.

Poussé à bout, il pourrait commettre le pire des actes.

Seuls Johanna et le chat Socrate lui apportent, chacun à sa façon, un peu de réconfort.

Dans ce récit, Serge Leprêtre nous décrit les faiblesses de l’homme et les tréfonds de la mécanique du harcèlement.

« Mortelle pensée » Éditions Atramenta - ISBN : 978-952-421-012-6

Ce roman est disponible en version papier - 266 pages -18 €, sur Atramenta.net et partout où on vend des livres ;

Ou en version E-book sur Atramenta.net et les multiples plateformes dédiées, au prix de 5,49 €.